PAN
photo David J Romero
"Le mal, lui, s'apparente à un gaz : il n'est pas facile à voir, mais il est repérable à l'odeur. Il est le plus souvent stagnant, réparti en nappe étouffante ; on le croit d'abord inoffensif à cause de son aspect -- et puis on le voit à l'œuvre, on se rend compte du terrain qu'il a gagné, du travail qu'il a accompli-- et on est terrassé parce que, à ce moment-là, il est déjà trop tard. Le gaz, ça ne s'expulse pas." A.N.